2024-11-10 Jour du souvenir  – Il est des traditions qui durent depuis des siècles : la plupart sont religieuses, qui résultent en des fêtes célébrées à certaines dates de l’année. D’autres se sont ajoutées au cours des années ou se sont transformées : pensons à la Fête de la Reine, la Journée de la réconciliation et celle de l’armistice, connue aujourd’hui sous le vocable du Jour du Souvenir. Ni une fête religieuse, ni une fête politique, la date du 11 novembre reste gravée dans la mémoire des gens. Ceux qui ont connu les affres de la Première Guerre mondiale (1914-1918) se souviennent des terribles batailles qui ont mené à la perte de tant de militaires. C’est pourquoi on a choisi la date de la signature du traité mettant fin à cette guerre, soit le 11 novembre 1919 à 11h00, pour en faire une journée du souvenir afin de ne pas oublier le passé.  Malheureusement beaucoup d’autres conflits ont suivi cette guerre, avec les mêmes résultats.

Par respect pour ces militaires qui sont décédés non seulement à la guerre, mais aussi lors d’autres opérations militaires depuis un siècle, le Canada marque le Jour du Souvenir lors d’une cérémonie tenue dans plusieurs villes du pays. Les vétérans, les membres des Forces armées canadiennes, les Cadets ainsi que d’autres groupes communautaires sont appelés à se rencontrer autour du cénotaphe lors de cette journée du 11 novembre. Le moment de silence a lieu exactement à 11h00, donc il est recommandé de se présenter un peu plus tôt pour l’accueil, les prières et l’hymne national.

Tous sont invités à participer à cette cérémonie au cénotaphe (au lac du Village), organisée par les membres de la Légion #147.

Léo Gravelle

2024-11-03 Guignolée – La première guignolée québécoise aurait été organisée par la Société de Saint-Vincent de Paul, une organisation charitable catholique, en 1861 ou 1862. Les villageois passaient de porte en porte, chantant des cantiques de Noël et amassant des denrées non périssables.

Échos-pasto 27 oct. 2024 – missions sans-abri

L’équipe pastorale a une sensibilité particulière pour l’option préférentielle pour les pauvres, un principe de l’Église universelle. Dans cette optique, nous avons un souci pour les personnes dans le besoin, notamment à travers les missions sans-abri. Celles-ci sont vécues auprès de deux milieux. Lors de visite au parc Émilie-Gamelin à Montréal et dans un partenariat avec l’organisme la Halte du Coin de Longueuil.

Voici les dates des prochaines activités : 3 novembre 2024 et 8 décembre 2024

Si vous désirez vous impliquer d’une manière ou d’une autre dans les missions sans-abri, nous vous invitons à contacter François Therrien au 450 653-6319 #29 ou ftherrien22@gmail.com

Échos-pasto 20 oct. 2024 – témoignage

Nous avons eu le plaisir de faire le parcours de 3 ans en catéchèse pour notre fille de 11 ans à l’époque. Elle avait une forte volonté de faire sa première communion, voilà pourquoi nous nous sommes adressés à la paroisse de       Saint-Bruno. Il nous a été expliqué que le chemin de foi pour réaliser sa communion et confirmation était de 3 ans et qu’il fallait accompagner son enfant dans ce parcours. Cela peut paraître contraignant, au départ, de se dire qu’en tant que parent on doit retourner à la catéchèse alors qu’on a déjà fait le parcours de notre côté. Et pourtant, ces rencontres mensuelles sont, selon moi, une véritable richesse.